Résumé « JE NE VEUX PAS » de Aurélie CALLET et Clémence PROMPSY

Voici le premier résumé d’une longue série. Pour en savoir plus sur mon défis, j’explique tout en détail ici. Je commence avec le livre JE NE VEUX PAS écrit par Aurélie CALLET et Clémence PROMPSY.

livre de 159 pages.

Elles sont toutes les deux psychologues et ont créé Kidz et Family pour accompagner les parents et les aider au quotidien. Mais ce sont avant tout des mamans et donc les conseils qu’elle donne sont issues de leur expérience.

« JE NE VEUX PAS »

Il est divisé en trois grandes parties

  • Le mode d’emploi
  • En semaine
  • Le week end et les vacances

Le monde d’emploi

Comment avoir moins besoin d’aller chez le psy?

Les enfants ne gèrent pas leurs émotions, les crises sont souvent en lien avec une impression de manque d’attention. S’ils n’obtiennent d’attention positive, ils viendront chercher notre attention par des crises et des pleurs.

La petite maison intérieure des enfants :

 La porte le jeu

Quelques règles permettent d’éviter la compétition, sélectionner des jeux coopératifs par exemple Playmobil Kapla, dinette, LEGO, laissez le choix à l’enfant du jeu. Laissez-le diriger ne faites pas des leçons scolaires déguisées, faites des observations neutres, manifestez le plaisir et faites des compliments.

Les murs l’attention positive

Lorsque l’on crie, on lui apporte de l’attention négative, il se remplit de ça et est amener à le reproduire pour avoir notre intention. Soulignez les bonnes choses qu’il fait pour le remplir d’attention positive.

😊
  • Complimenter
  • Faire des observations neutres
  • Partager du temps
  • Jouer ensemble
  • Rire ensemble
  • Féliciter les comportements positifs
  • Lui montrer de l’intérêt quand tout se passe bien
  • Ignorer les petits détails négatifs
  • Critiquer un comportement qui vous déplait
  • Ne lever son nez du téléphone que pour crier
  • Se déplacer pour régler une dispute entre frère et sœur
  • Interrompre sa conversation avec autrui parce que l’enfant hurle

Les fenêtres établir des règles

Établir des règles pour les choses importantes qui reviennent à répétition permet de déstresser parents et enfants. Si les règles sont établies et acquises, il n’y a pas à les répéter et cela libère l’esprit de l’enfant. Il sait que les dessins animés par exemple c’est une heure le weekend et que pendant les vacances.

Qu’est-ce que les règles apportent ?
  • Plus d’autonomie
  • Plus de collaboration
  • Plus de questions
  • Moins de répétitions
  • Moins de stress
  • Moins d’ordres
  • Moins de punitions

 

Le toit de la maison : les limites

Lorsque les trois points précédents ont été mis en place, mur, porte, fenêtre, le toit sera plus facile à poser.

Posez des limites de façon efficace en restant calme, éviter les punitions et les réactions disproportionnées.

 

La cheminée de la maison : comment accueillir sa colère ?

L’enfant de moins de 5 ans ne manipule pas, il ne contrôle pas ses émotions. Il ne faut pas chercher à le raisonner. Si c’est possible, trouvez une solution pour calmer sa colère, si c’est trop tard proposer un câlin, s’il est en sécurité et que la colère est enrayée dites-lui que vous êtes disponible dès qu’il aura besoin en restant à proximité. S’il jette des choses par terre, ce sera rangé plus tard. Quand ça se calme, amenez le rire et parler d’autre chose, aidez-le à ranger, ne demandez pas d’excuses.

Il faut s’intéresser à toutes les parties de la maison pour qu’elle soit équilibrée et qu’elle tienne debout.

 

L’éducation bienveillante et si ça commençait par nous ?

En pratique c’est dur, en théorie c’est super, on se trouve nul, le couple peut se trouver divisé quand l’un des deux ne suis pas ce que l’autre essaie de mettre en pratique

Il est difficile d’assurer sur tous les points être un bon parent, le travail, le couple, les amis, la famille, la maison, les devoirs, les courses, les repas… on ne peut pas être à 100 % tous les jours l’important est de planter des graines qui vont petit à petit germer. Chaque petite victoire compte, nous devons être avant tout des modèles pour nos enfants. Il est important de prendre soin de soi pour pouvoir bien s’occuper de ses enfants, devenir un adulte doit les faire rêver, lâchez prise avec et sans vos enfants est important.

 

Quelques outils essentiels en éducation bienveillante

1 – L’aimer sans condition, accepter qu’il est des passions différentes. Je t’aime tel que tu es quoi que tu fasses.

2 – L’écouter avant de se fâcher, essayer de comprendre son émotion, entretenir la confiance qu’ils ont en nous dès qu’ils sont petits.

3 – Le jeu et le plaisir sont deux ingrédients essentiels pour l’apprentissage de vos enfants. Il sera plus facile pour lui de supporter les frustrations de la vie tant que vous remplissez son besoin d’attention. Rigolez avec votre enfant.

4 – Accueillir les émotions, le cerveau ne peut pas les gérer avant 7 ans

5 – Dissociez l’enfant de ses actes il ne faut pas qu’il se dévalorise mais qu’il remette en question son comportement, par exemple :  « tu m’énerves je suis fâché contre toi » par « je n’aime pas entendre les cris dans mes oreilles »

6 – Essayez d’insister sur ce qu’il peut faire plutôt que sur ce qui ne peut pas faire

7 – Lorsque votre enfant adopte un comportement excessif et qui vous déplaît dites-vous que c’est probablement parce qu’il a besoin de votre attention et de votre amour. N’oubliez jamais que la pulsion d’un enfant est toujours justifiée et répond à un besoin.

8 – Les ordres directifs empêchent les enfants de réfléchir, il est préférable de passer par le jeu et de formuler les choses avec plus de douceur comme « j’aurais besoin que tu m’aides pour ranger la chambre. »

9 – Faites du renforcement positif en soulignant tout ce que vous remarquez de bien en leur comportement quand il joue tout seul, quand il est calme, quand il aide son frère ou sa sœur.

10 – Les enfants nous imitent si on est avec votre téléphone à la main toute la journée et qu’on lui demande de pas regarder la télé, il ne va pas comprendre de même pour la politesse, s’il nous entend dire merci s’il te plaît, il se mettra à le faire sans qu’on ait à lui demander de le faire.

11 – Quand on s’énerve et que l’on craque, n’hésitez pas à vous excuser auprès de votre enfant, c’est une manière de lui montrer que les adultes aussi se trompent.

12 – Pour encourager votre enfant essayer de toujours souligner les comportements positifs chez lui, de louer ses efforts plutôt que seulement le résultat même s’il ne réussit pas il a fait des choses bien pour y arriver, cela lui enseignera le sens de l’effort et de la persévérance. Il gagnera confiance en lui, le parent parfait n’existe pas l’enfant parfait non plus.

13 – La confiance : s’il a confiance en vous, il aura confiance en lui.

Harmonie : s’il y a moins de cris moins de disputes, tout le monde sera gagnant

Coopération : essayez de coopérer plutôt que de le faire obéir, cela développe le cerveau frontal.

 

Grand choix petit choix

Faites des phrases affirmatives pour proposer des choses qui sont possibles de manière à lui faire visualiser ce qu’il peut avoir, ça marche avec les enfants comme avec les adultes. Il faudra un peu de temps pour inverser la tendance et arrêter de faire des phrases négatives plutôt que de dire il n’y a pas de sucette et de gâteau au chocolat, proposer plutôt est-ce que tu veux une clémentine une pomme ou une banane. Pour que l’enfant passe à autre chose, partir d’une aire de jeux par exemple il faut lui proposer des choses claires et lui montrer avec conviction la direction que vous attendez de lui. Les parents prennent les grandes décisions, les enfants les petites : « on part du parc est-ce que tu veux monter sur ta trottinette ou marcher ». Verbalisez d’abord la grande décision et proposez-lui un petit choix en lui posant une question. Obéir par principe et sans réflexion développe chez l’enfant soit la soumission, timidité, manque de confiance à lui ou rébellion qui entraîne le mensonge et le manque de confiance en vous.

 

Comment fait-on sans les punitions

Plutôt que de parler de punition on parle de conséquence on peut rester doux et mettre un cadre à ses enfants. Jane Nelsen explique la différence, une conséquence doit être en relation avec l’acte, respectueuse, raisonnable et révéler en avance ce sont les quatre R de la conséquence, sans ça c’est une punition. Vous pouvez mettre en place une conséquence, laisser faire les conséquences naturelles qui correspond à ce que l’enfant va expérimenter. L’enfant va apprendre par lui-même et le responsabiliser face à ces décisions il y a les conséquences logiques, comme nettoyer ça bêtise, toujours essayer de l’appliquer en lui posant par exemple la question de comment tu pourrais faire pour réparer ça, toujours appliqué ce que vous décrétez, restez cohérent, la punition doit être proportionnée ne menacez pas d’une sanction que nous vous ne pourrez pas tenir.

 

C’est pas moi c’est la règle

Établissez des règles pour éviter les questions répétitives par exemple : « est-ce que je peux avoir du soda ? » « Le soda c’est que quand on reçoit des gens pendant l’apéritif » de cette manière l’enfant arrêtera de poser la question, cela fonctionne pour toutes les choses du quotidien.

Le rapport contraintes/plaisir doit être équilibré

Être généreux quand on veut lui offrir la possibilité d’un écran par exemple, si c’est trop restreint ça va créer plus de frustration qu’autre chose.

Quand quelque chose devient trop conflictuel, elle doit être stoppée totalement, le sevrage est plus facile qu’on ne l’imagine. Anticipez et proposez quelque chose de substitution. Leur faire intégrer des règles de la maison ou de propreté ou de rangement par le jeu ou les chansons. Une fois les règles intégrer il faut les impliquer dans la routine en leur proposant des choix et en leur posant des questions.

 

Maintenant, on y va !

Choisissez trois domaines parmi ces 11 sur lesquels vous voulez établir des règles : politesse, hygiène, sécurité, se tenir à table, sommeil, manger équilibré, relation aux écrans, autonomie, ponctualité, rivalité et jalousie, gérer ses émotions.

Prenez un moment calme pour leur parler des règles sous forme de défi familial, expliquez pourquoi vous mettez ces règles en place et ne rien lâcher pendant une ou deux semaines. Ne pas faire de chantage pour faire suivre les règles, lui rappeler les règles du défi avant : une sortie, passée à table, aller au lit. Selon le domaine que vous avez choisi soyez ferme mais sans rapport de force. Il faut lui faire comprendre que votre demande est justifiée et bonne pour lui s’il respecte bien les règles on le remarque et on le félicite.

 

En semaine

Se lever le matin

Ne le levez pas trop tôt mais prenez suffisamment de temps pour ne pas presser tout le monde et laissez lui 5 minutes si c’est nécessaire pour le lever. N’hésitez pas à lui parler de façon brève de sa journée et de ce qui est prévu le soir. Avec plusieurs enfants on peut faire des missions : responsables de l’horloge, les clés de la voiture, appeler l’ascenseur. Si vous avez beaucoup de retard dans les préparatifs faites sous forme de jeu pour que tout le monde soit prêt rapidement « on s’habille comme des fusées » « « championne du monde de la course du matin » « voiture supersonique » tout ce qui peut le stimuler pour se dépêcher, pourquoi pas mettre une sonnerie 5 minutes avant le départ ce sera l’heure de mettre manteau chaussures installez ses affaires de manière à sa hauteur pout qu’il puisse être autonome pour se préparer. Ne lui donnez pas trop de choix dans les vêtements le petit-déjeuner, les chaussures sinon les décisions deviennent interminables et se transforme en conflit.

 

S’habiller

Comme toujours utiliser le jeu pour s’habiller rapidement, laissez-le avoir à disposition tous ses vêtements, un miroir pour se regarder. S’il a un vêtement fétiche, achetez-le en plusieurs exemplaires pour être sûr qu’il en est toujours propre et laissez-le avoir mauvais goût. Quand la situation est très compliquée préparez toujours les affaires avec lui la veille en regardant la météo du lendemain.

 

Rassurer votre enfant le matin à l’école

L’entrée en petite section peut être stressante pour les enfants comme pour les parents s’ils ont eu une mauvaise expérience scolaire. Avant de partir à l’école, vous pouvez toujours sous forme de jeu, mettre de la musique, faire des devinettes sur le chemin.

Prenez du plaisir avant de se séparer sur place : détaillez la classe avec lui, ce qu’il va pouvoir faire avec les enfants qui sont là, parlez d’une voix calme, même si celui-ci pleure très fort, utilisez des mots comme « je vais au travail » ou « on se retrouve ce soir » plutôt que « je m’en vais ».

Si c’est possible, installez le à une activité, s’il ne veut pas vous laisser partir, parlez de tout ce qui va pouvoir faire avec les copains et qui viendra le chercher pour le goûter. Vous pouvez lui faire un petit dessin sur le bras à chaque fois qu’il le regardera vous penserez à lui, un petit objet dans son sac, le doudou. Ne lui demandez pas pourquoi il pleure le matin c’est un mélange de stress d’aller dans un endroit qu’il connaît peu avec des gens qui ne connaît pas. Ne montrez pas votre inquiétude, si vous êtes serein il arrivera mieux à s’apaiser, dites-lui que les adultes peuvent avoir peur aussi quand il commence un nouveau travail par exemple.

 

Quitter l’école ou la garderie

Accompagnez sa fin d’activité à la garderie, s’il ne veut pas quitter un jouet faites-lui ranger dans un endroit où il pourra le retrouver le lendemain. Donnez-lui envie de rentrer à la maison en lui expliquant ce que vous allez faire, pensez à la technique du grand choix petit choix, vous avez décidé de rentrer à la maison il décide de ce qu’il fera en rentrant ou comment il veut terminer son activité, pas trop de négociation et rendre le départ rigolo toujours sous forme de jeu.

 

Sortie au parc

Établissez des règles simples mais strictes, énoncez les interdits et énoncez tout ce qui est permis. Prévenez des conséquences, s’il y en a pour les règles qui ne sont pas suivis si une consigne n’est pas respecté ne faites jamais semblant de pas l’avoir vu prévenez le une fois que s’il continue il y aura des conséquences. S’il connaît déjà les règles du parc faites-lui répéter, si vous êtes pris par le temps il faut le prévenir que ce sera plus court que d’habitude. Prévenez-le du départ maximum deux fois sinon ça n’a plus aucune valeur. Quand le départ est décidé soyez immédiatement prêt énoncer la grande décision et laisser lui prendre une petite décision par un double choix simple. Détournez son attention, l’anticipation est souvent la clé du succès et lui faire répéter ce qu’il a été dit pour être sûr qu’il a bien assimilé.

 

Il s’est passé quelque chose à l’école ?

Privilégiez les questions positives sinon il va sentir votre inquiétude et aura tendance à ne parler que des problèmes. Des questions ouvertes pour qu’il puisse répondre par des phrases et développez. S’il reste laconique, essayer de passer par le jeu en choisissant des figurines et les faire jouer à l’école, il va tout de suite s’identifier à l’un d’eux et les faire jouer comme il le fait à l’école. Proposez pendant l’heure du repas ou dans le lit de raconter des jolis moments de la journée pour qu’il s’endorme avec des souvenirs et des images positives. Si vous constatez que votre enfant n’est pas comme d’habitude ou un changement de comportement brutal, n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec un psychologue qui parviendra à identifier le problème ou vous rassurer. Il faut respecter que votre enfant veuille préserver son intimité, vous n’êtes pas à l’école, il a envie de garder ses son jardin secret. Il peut commencer à dire des petits mensonges, si vous vous en rendez compte expliquer lui la notion de confiance, le plus important est que votre enfant est bien intégré qu’il peut toujours compter sur vous.

 

Le bain

Il ne veut pas y aller et ensuite il ne veut pas sortir parce qu’on lui demande d’arrêter une activité dans les 2 cas. Si c’est possible, il peut prendre l’un de ses jouets dans le bain. Tout peut être amené par le jeu ou en emmenant des choses amusantes pour qu’il ait envie d’y aller : le bain moussant, pastille pour colorer l’eau, poudre crépitante. Si laver les cheveux et compliqué, choisir un jour fixe et l’entraîner à la piscine à mettre la tête sous l’eau pour qu’il n’est plus d’appréhension. S’il a mis de l’eau en dehors du bain, lui proposer de l’aide pour nettoyer. Pour le faire sortir du bain et lui donner envie de descendre pour voir ce qu’il y a à manger au repas. Lui faire sortir les jouets et les sécher pour qu’ils aillent aussi au lit.

Apprenez à votre enfant ce qu’est l’hygiène et apprenez-lui dès que possible comment se laver tout seul.

 

Les devoirs du soir

Dès l’entrée en CP aller choisir ensemble un bureau de grand qu’il pourra installer par lui-même. L’invité à s’y installer le plus souvent possible pour qu’il s’y habitue.  La musique peut-être d’une grande aide pour faire les devoirs, laissez-le s’agiter s’il en a besoin pour une récitation par exemple pour apprendre une poésie et comme pour tout, s’il a vraiment du mal il faut essayer de détourner par le jeu pour l’apprentissage.

Attention à ne pas lui faire revivre votre propre scolarité, n’hésitez pas à déléguer si pour vous les devoir sont compliqué, avec les études à l’école, une nounou, un grand parent essayer de trouver le meilleur moment pour que l’enfant soit le plus concentré, après de goûter, après le bain ou de suite en rentrant à la maison. Pour qu’il gagne en autonomie laissez-le réfléchir par lui-même laisser le commettre des erreurs, guider le vers la bonne réponse mais ne lui donnai pas. Le bureau doit être réservé aux devoirs, enlever toutes sources de distraction qui pourrait y avoir dessus.

 

A table

Si vous rencontrez des difficultés à le faire manger choisissez de la vaisselle qui lui plaise avec ses personnages préférés. Annoncez que c’est l’heure de passer à table de façon rigolote vous pouvez aussi amener le jeu à table en imaginant différents scénarios avec son assiette et ce que ça pourrait représenter. Faites-le participer à l’élaboration du repas et du menu, l’emmener avec vous faire les courses pour qu’il choisisse des légumes. Incitez-le à goûter mais ne l’obligez pas à manger quelque chose, le plaisir viendra petit à petit, il y a des périodes où il mange plus ou moins en fonction de leur croissance, regardez comment elle mange tout au long de la semaine plutôt que sur une seule journée et garder la notion de plaisir de partager un bon repas.

 

Se brosser les dents

Laisser le choisir une brosse à dents qui lui plaise toujours sur la forme de jeu, organiser des concours celui qui brossera les dents de plus longtemps, faire une danse avec une musique sur le téléphone, essayez de chanter une chanson, on se lave les dents avec un tableau à cocher à chaque fois qu’il s’est brossé les dents, une application mobile, faite en sorte qu’il soit confortable et qu’il puisse se voir devant le miroir avec un tabouret.

Parler de l’importance de se laver les dents ne pas négliger les dents de lait et lui apprendre le plus tôt possible.

 

Le rituel du soir

Vous voyez avec votre enfant et votre conjoint ce que vous préférez faire : histoire, chanson, gratouilles. Pour ceux qui veulent négocier et changer le rituel faites un imagier avec chaque étape. Impliquer l’enfant et lui demander s’il se souvient de la suite, établir des rituels aide votre enfant à devenir autonome. Ne vous attachez pas trop respecter le timing commencez par tout ce qui est obligatoire

 

Allez hop au lit !

Certains enfants malgré un rituel bien établi se relève plusieurs fois.

Minute psycho c’est quoi l’Œdipe ?

Jusqu’à l’âge de 2 ans l’enfant pense qu’il y a le monde des adultes et le monde des bébés, ensuite il se rend compte qu’il y a les filles et les garçons. Il imagine qu’il faut former un duo avec le sexe opposé pour devenir adulte, il va alors se tourner vers l’un de ses parents du sexe opposé et essayer d’évincer l’autre. Pour contrer cela, il faut un peu tous les jours selon ce qu’il est en train de faire, lui expliquer que nous aussi on a été petit et qu’on a grandi que papi aussi était petit et qu’il a grandi que grand-mère aussi était un bébé qu’elle a grandi pour qu’il comprenne que lui aussi, à son tour, il deviendra grand et qu’ensuite seulement on trouve un partenaire. Vous pouvez le rassurer, que papa et maman reste à la maison qu’ils sont dans la pièce à côté vous pouvez lui expliquer ce que vous êtes en train de faire : ranger la maison, lire un livre, et que lui un jour il pourra faire pareil mais que pour le moment pour bien grandir il doit dormir.

Rendez le chemin vers la chambre en faisant le cheval en le mettant sur vos chaussures.

Votre enfant n’a pas besoin d’entendre que les loups n’existent pas, il a besoin d’une solution : une épée anti loup, un objet pour les apaiser pour les protéger, du sel magique. Pour les cauchemars soyez positifs et gardez à l’esprit que son cerveau jette les mauvaises images de la journée. Ne prévenir qu’une seule fois votre enfant 5 minutes avant le coucher ne changez pas direction si vous avez décidé que c’était l’heure d’aller au lit on va au lit, une fois que vous avez trouvé un rituel, garder le avec un temps limité 10 à 15 minutes, si ça lui convient, faire un imagier du rituel, évitez les exceptions ça évitera les difficultés même si vous vous sentez coupable d’être sorti la veille assurez-vous qu’il joue dans sa chambre il ne faut pas que ce soit simplement un lieu de séparation et de solitude et le soir il faut adapter l’ambiance : une chambre rangée, les rideaux fermés, une lumière tamisée. Il faut que le coucher soit un plaisir.

 

Il ne veut plus dormir

Il faut que la manière dont il s’endorme il puisse le retrouver tout seul ; s’il s’endort en vous tenant la main et qu’il se réveille il va vouloir se rendormir en vous tenant la main. Il est nécessaire d’avoir des rituels indépendants de vous et de remplacer votre main par le doudou. S’il se réveille, il doit se trouver dans la même situation dans laquelle il s’est endormi : veilleuse, lumière, porte ouverte, pour les tétines en mettre plusieurs phosphorescentes, mettre une petite bouteille antifuite dans un coin du lit. Vous pouvez utiliser des tableaux et des gommettes pour le féliciter chaque matin où il ne vous a pas sollicité et pareil pour le pipi au lit lorsqu’il est demandeur de ne plus mettre la couche.

Prenez le temps de jouer, discuter avec votre enfant, s’endormir avec un réservoir rempli d’attention positive.

Votre attitude doit être bien différente le jour de la nuit, s’il se réveil la nuit, il ne faut pas lui proposer des histoires, des gratouilles mais avoir une attitude plus effacée, plus endormie, pour qu’il n’ait pas envie que cela se reproduise. Si votre enfant se réveille avant de faire quoi que ce soit, posez-vous la question de savoir si vous seriez prêt à le refaire tous les jours, si ce n’est pas le cas ne le fait jamais sinon, il va le réclamer et ensuite vous rentrez dans un engrenage dans lequel vous n’arriverez pas à vous sortir.

 

Le weekend et les vacances

Se reposer un peu le weekend

Il est important pour chaque parent de prendre du temps pour soi, il ne faut pas se culpabiliser de les faire garder un soir, quelques heures le weekend chez les voisins, une copine, avec les grands-parents de temps en temps n’oubliez pas de vous offrir les services d’une baby-sitter. Il faut donner à son enfant l’envie de devenir adulte et vous voir épanoui l’aide. Le weekend alterner les grasses matinées pour l’un pour l’autre, partez avec les enfants pour que l’autre parent ait du temps pour lui. Il faut se lever tranquillement prendre un petit déj dans le calme, si vous avez plusieurs enfants, passez du temps avec un seul de temps en temps, non seulement ce sera plus reposant pour vous et l’enfant vous aura plus pour lui tout seul et son réservoir sera rempli.

 

Des moments privilégiés avec chacun de ses enfants

Les obligations professionnelles personnelles et familiales fait que l’on manque de temps pour passer du un moment avec chacun de ses enfants. Lorsque vous sentez une différence de comportement, d’énervement, de pipi au lit, essayez de prendre du temps avec votre enfant pour avoir des moments de qualité. Ne faites pas toujours tout à 3, séparez-vous ponctuellement, on va au marché, ou à la piscine, faites les courses, aller boire un verre chez une amie. Prévoyez une sortie adaptée à son âge, si c’est le plus grand ne faites pas juste une sortie au parc faites quelque chose qu’il ne peut pas faire d’habitude avec un petit frère petite sœur. Pendant la période œdipienne, il sera bénéfique que l’enfant puisse passer un moment de complicité avec le parent qu’elle voit le moins. Ces tête-à-tête évitent au parent rival de s’entendre dire toutes les deux minutes : « non ce n’est pas toi c’est maman ! » Les plus grands sont ravis de pouvoir faire des activités sans avoir le petit dans les pattes

 

Et si on allait au resto

Faites en sorte que tout soit pratique et penser pour la sortie. Privilégiez pour la première fois, une sortie à proximité, si c’est possible, accessible à pied si jamais il y a un des parents qui doit rentrer pour ne pas pénaliser le reste de la famille. Préparez-lui un sac avec des affaires qui pourront l’occuper. Anticipez le repas des enfants en demandant au restaurant ce qu’il prépare pour les enfants pour qu’il puisse se préparer psychologiquement à ce qu’il va manger. Commandez le repas des enfants en même temps que les apéros et pour le bruit essayez de lui faire écouter tout ce qui se passe dans le restaurant il se cale au volume sonore du restaurant. Il y a aussi une application téléchargeable sur notre site internet avec un bonhomme qui mesure l’intensité. Il faut que ce moment reste agréable pour tout le monde.

 

Invité des copains d’école

Cela peut débloquer de nombreuses difficultés notamment pendant la période œdipienne. Il peut ne plus avoir envie d’aller à l’école et cela va le réconcilier avec celle-ci, le fait d’investir ou du temps à lui ou avec un de ses amis pour nouer de nouvelles relations en dehors de ses parents. Vous serez étonné par toutes les conséquences positives de cette invitation il va en être apaisé.

Dès la petite section, si vous rencontrez des parents et des enfants sympathiques, n’hésitez pas à prendre les devants pour commencer à s’inviter l’un l’autre. Prévenez votre enfant deux jours avant. Faites-lui retirer certains jouets s’il ne veut pas que l’autre y touche. Prévenez qu’il va devoir partager mais qu’il ne faut pas qu’il s’inquiète il va garder tous ses jouets. Lui faire fabriquer une invitation va lui donner envie d’aller à l’école pour la distribuer. Faites en sorte que l’enfant invité et tout ce qui lui faut : affaire de rechange, doudou…

 

Apprendre à jouer dans sa chambre

Il faudra que la chambre se prête au jeu, qu’elle soit facile à ranger pour qu’il puisse investir les lieux. Éviter les caisses pleines de jouets mais plutôt exposé juste le nécessaire et faire un roulement. Mettes un miroir à sa hauteur si possible. Faites un espace jeux, mettez le lit en face de la porte, limitez les jouets dans le salon. Il faut qu’il s’habitue à y passer du temps avec vous pour qu’il ait envie d’y aller. Mettez un poste de musique, une boule à facette et un lit cabane peut être une bonne idée. Décidez avec lui des meubles, du rangement pour qu’il puisse s’approprier l’espace. Il est important qu’il s’investisse dans sa chambre pour qu’il ait envie d’y rester. Acceptez que votre enfant mette du bazar dans sa chambre on rangera en fin de journée.

 

Les écrans

Plus vous avez de difficultés à limiter les écrans, plus il faut établir des règles, un nombre de dessins animés précis, un timer. Vous devez montrer l’exemple et pouvez décider que personne ne regarde les écrans pendant un certain temps en faisant une boîte avec les télécommandes et les téléphones.

Passez un moment avec lui s’il est devant les dessins animés. Un enfant adore qu’on s’intéresse à ce qu’il regarde. Prendre le moment interactif comme avec un livre. Si ça devient trop problématique il faut passer une période de sevrage pendant 7 jours. N’oubliez pas d’activer le contrôle parental pour éviter les contenus malveillants et indésirables.

 

Aller au supermarché

L’organisation et le jeu sont les maîtres mots de cette sortie. C’est un environnement stressant pour les enfants et avec beaucoup de stimulation qui peut amener beaucoup de frustration. Vous pouvez commencer par dresser la liste avec votre enfant, lui faire prendre des décisions une fois au supermarché amené par le jeu dont celui des missions pour trouver certaines choses. S’il est petit, des choses de couleur pour le détourner de tout ce qui est bonbons ou autre tentation. Avant de rentrer dans le supermarché, rappelez les règles, les interdits et ce qu’il va pouvoir faire et comment vous aider. Profitez du moment des courses pour expliquer certaines choses sur la santé ou l’écologie.

 

Des amis viennent dîner à la maison

C’est idéal pour pouvoir passer une soirée entre adultes sans avoir à appeler une baby-sitter et ainsi montrer à ses enfants ce qu’est la vie d’adulte et comme c’est bien de grandir et de partager des bons moments. Vous pouvez coucher vos enfants avant l’arrivée des invités pour être pleinement disponible ou coucher vos enfants au milieu de la soirée, dans ce cas, ne tardez pas trop si vous ne voulez pas aller les coucher alors que tout le monde passe à table. Sollicitez plusieurs invités pour aider à mettre la table, coupé le pain, ouvrir le vin…

Si vos enfants participent à la soirée, prévoyez une table pour les enfants. Ils prendront le repas avant vous pour que pendant le repas vous puissiez soit aller les coucher ou leur mettre un dessin animé.

Avec des enfants il faut s’organiser différemment lorsque l’on reçoit on peut répartir les tâches au sein du couple. Faire des dîner plus simple qui nécessite peu de préparation : raclette, barbecue, apéro dinatoire, ou tout le monde ramène quelque chose

 

Les baby-sitters

Il faut se déculpabiliser et ne pas hésiter à solliciter quelqu’un de l’extérieur pour garder les enfants : aller les chercher à l’école, vous libérer un peu de temps après le travail. Il vaut mieux peu de temps de qualité que beaucoup de temps avec des crises et la fatigue du parent. Si le soir ça ne lui convient pas parce qu’il veut se coucher avec vous, faites-le une demi-journée, un mercredi, un dimanche. Pour les gardes quotidiennes et sorties d’école faites jouer la solidarité entre parents, faites-vous un réseau de parents qui pourront vous dépanner une heure après l’école. Le temps passé avec votre enfant doit être plus qualitatif que quantitatif.

 

La propreté

Il faut commencer bien avant la pression de l’école pour limiter le stress chez le parent et chez l’enfant. Pour l’eau et les aliments expliquez-lui le cycle : l’eau tombe des nuages, remplis les lacs, remplis les robinets des maisons, va dans la bouche puis dans les toilettes et c’est reparti pour un tour pareil pour la nourriture : la pomme est mangée, elle va dans les toilettes et puis elle retourne dans la terre pour faire pousser le pommier.

Faites-le choisir son pot et faites-le participer à tirer la chasse d’eau et puis se laver les mains. Vous pouvez aussi le motiver en lui achetant des culottes qui lui plaisent avec son héros préféré, une couleur qu’il aime, pour ne plus avoir envie de mettre des couches. Vous pouvez mettre en place le tableau des propretés que vous pourrez trouver sur le site kidz et family

Il faut le motiver en lui montrant que les grands ne portent pas de couches, que si elle veut devenir grande et faire certaines choses, il faut qu’elle ne porte plus de couche, ceci n’est pas du chantage ce n’est pas : « si tu vas aux toilettes je t’achète un camion » c’est complètement différent.

Il ne faut pas en faire une obsession et en parler tout le temps. Il ne doit pas sentir votre impatience, c’est lui qui doit être impatient, ça peut se faire en 24 heures juste comme ça. Il ne faut pas faire de chantage, un enfant ne doit pas devenir propre pour faire plaisir à ses parents mais parce qu’il veut devenir autonome et grandir. Parlez-lui de tout ce qui pourra faire une fois qu’il sera propre.

 

Rivalité dans la fratrie

Il est très compliqué pour des parents de voir ses enfants se haïr, se battre et se jalouser. Une des choses importantes sera donc de commencer par apprécier les améliorations même minimes.

Pour l’aîné il est difficile pour lui de se réjouir de la venue d’un petit bébé. Il demande beaucoup d’attention, tout le monde ne parle plus que de lui, il doit partager avec lui. Il faut donc veiller à donner toujours beaucoup d’attention au plus grand et ne pas toujours voir le petit en victime mais laisser le grand s’exprimer et l’écouter pour savoir ce qui s’est passé lors d’une discussion.

Les aînés âgés de 2 à 5 ans peuvent avoir l’impression que l’on passe la journée à faire des câlins au bébé. Sur une feuille lister ce que bébé peut faire, ce que lui peut faire, ce qu’un adulte fait. Ça va lui donner envie de grandir et non pas de redevenir un bébé. Si le grand fait mal au bébé au lieu de le punir dans sa chambre faites le participer pour soigner bébé avec des gestes tendres un bisou, une caresse, un doudou et ne le forcez pas à s’excuser. Recréer du lien avec ses enfants en sortant un jeu pour que les petits jouent contre le parent, pour qu’il fasse équipe vous pouvez aussi leur construire un château avec une princesse, inventer un méchant et ensemble ils doivent combattre le méchant.

Ne pas enfermer vos enfants dans des rôles : gentils, méchants, timides.

Ils veulent toujours le même jeu en même temps. Ne faites pas l’arbitre et aidez-le à trouver une solution ensemble. Chacun son tour, on sort un autre jouet, apprenez au plus grand à essayer de détourner l’attention du plus petit sur un autre jouet quand il veut le garder. N’essayez jamais d’être juste, vous ne pouvez pas être égal avec tous les enfants mais équitable. Vous n’avez pas forcément les mêmes jeux avec l’un et avec l’autre. Le temps que vous passez ensemble et différent avec chacun car ils sont tous différents.

Ne leur dites pas que vous les aimez autant les uns que les autres mais que vous les aimez pour des choses différentes.

Éviter les comparaisons même favorables : « super Benoît tu as rangé ta chambre ce n’est pas ton frère qui ferait ça » il va remarquer par cette phrase que l’on peut vous plaire ou vous déplaire et il va se demander si vous le faites aussi avec son petit frère.

 

En voiture

Organiser le maximum de choses la veille du départ y compris la programmation du GPS. Prévoyez un sac de nourriture avec du sucré et du salé. Prévoir un sac de jeux qu’il puisse attraper par eux-mêmes. Privilégier des jeux qui n’ont pas vu depuis longtemps pour que ça les tienne occupé. Faites des jeux tous ensemble dans la voiture avec tout ce qu’il y a à l’extérieur qui nécessite aucun matériel.

Insistez bien sur la sécurité en créant un jeu pour qu’il mette la ceinture. Prévoyez en cas de nausée des sacs. Si les dessins animés sont autorisés prévoyez un chargeur pour la tablette le téléphone ou une batterie externe recharger.

 

Choisir les activités extra-scolaires

Sport collectif adapté aux enfants timides.

Si votre enfant déborde d’énergie choisissez un sport qui va le défouler tel que la gymnastique et l’athlétisme.

Activités créatives et manuelle pour les bons élèves.

Les activités artistiques conviennent rarement aux bons élèves qui se mesure au voisin et cherche la performance comme le chant, le théâtre, le cirque.

Si votre enfant déteste perdre, choisissez une activité individuelle où l’esprit de compétition et le bienvenu.

Choisissez des activités différentes pour chaque enfant en cas de rivalité. Cette activité va lui permettre de développer de nouvelles relations amicales.

 

Les devoirs de vacances

Il ne faut pas mettre trop de pression aux enfants pendant les vacances, ça doit être un moment de détente néanmoins si vous souhaitez faire travailler votre enfant faites-le sur un temps court, toujours au même moment de la journée de préférence le matin. Vous pouvez opter pour un cahier de vacances ou utiliser l’environnement pour travailler : la lecture au restaurant, les panneaux, faire des calculs avec des coquillages sur la plage. Faites les choses de manière ludique par exemple, pour l’écriture ça peut être écrire dans le sable, utiliser les morceaux de Scrabble, écrire des cartes postales. Il peut choisir son cahier de vacances, il aura davantage envie de l’ouvrir s’il a choisi un livre qui lui plaisait.
Amener votre enfant à débattre sur des sujets qu’il a pu entendre dans des conversations d’adulte ou à la radio.
Un enfant qui réussit est un enfant bien dans sa peau et confiant, alors valoriser le, quel que soit son niveau.

Il va être gardé chez les grands-parents

Les grands-parents sont souvent plus souples au niveau des règles et c’est normal. Laissez l’enfant profiter de cela, néanmoins vous pouvez parler des rituels du coucher, des habitudes alimentaires, la prise de médicaments, faites la liste des choses importantes. Préparez les affaires avec l’enfant mais laissez-le choisir des choses qu’il aime et qui vont le rassurer pendant son séjour. Vous pouvez faire un calendrier avec une photo des parents au début du séjour et à la fin du séjour et au milieu mettre une photo des grands-parents et de la maison, il pourra l’afficher sur le frigo ou dans sa chambre et pourra le consulter quand il veut et ainsi se repérer dans le temps. Certains enfants ne vont pas réclamer de vous appeler ça ne veut pas dire qu’ils vous ont oublié, vous pouvez toujours prendre des nouvelles auprès des grands-parents. Privilégier les appels dans la journée plutôt que le soir. Soyez confiant, les inquiétudes sont contagieuses. Les différences dans l’éducation que les grands-parents vont amener sont une richesse pour vos enfants, ils savent faire la différence entre ce qu’ils peuvent faire chez les grands-parents est-ce qu’ils ne peuvent pas faire à la maison ne partez pas sans lui dire au revoir et n’abusez pas de la garde par les grands-parents, il faut que ça reste un plaisir et non une contrainte.

 

Mon avis sur le livre

J’ai beaucoup apprécié le lire, il est aéré, imager, très agréable à lire. Les astuces sont claires, il y a pleins d’exemple c’est assez facile de se projeter avec sa famille dans tout ce qu’elles proposent de mettre en place. Au fur et à mesure de ma lecture j’ai mis en place des petites choses avec mes enfants, qui se sont avérés être très efficaces rapidement, par exemple le grand choix petit choix qui est évoqué régulièrement, c’est une astuce qui fonctionne tout de suite, il n’y a pas besoin d’un temps d’adaptation comme avec une règle qui peut mettre plus de temps à s’installer.

Je recommande vivement ce livre pour une première lecture sur la parentalité, on le feuillète facilement pour prendre un conseil par ci par là.

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